mercredi 27 février 2013

Mardi 26, tractage à Saint-Junien

Profitant d'un soleil tout relatif, le froid ne l'étant pas lui relatif, nous avons tracté à Saint-Junien, ce mardi 26 février pendant deux heures à peu près.
Nous avons installé quelques panneaux et banderoles sur une barrière.
















Nathalie a distribué l'affichette "l'un sur vos genoux, l'autre dans votre assiette, pourquoi?" qui a visiblement interpellé les gens. Aucune affichette n'a été jetée. Parmi les quelques remarques, la sempiternelle "j'aime trop mon steak" mais plus originale, un jeune répondant "que le veaux est plus lourd que le chien pour être sur des genoux!"




De mon côté, j'ai distribué deux sortes de tracts: l'un sur les conditions de vie des galgos et particulièrement en Espagne et un autre dénonçant les cirques avec animaux.
A ce propos, n'oubliez pas de participer, si vous ne l'avez pas encore fait, à notre campagne contre les cirques avec animaux auprès des députés et des eurodéputés.



C'est deux tracts n'ont pas généré de conversation si ce n'est pour celui concernant les galgos une femme assez âgée le refusant parce qu'elle ne voulait pas voir d'horreur et quant à celui sur les cirques, un enfant tout joyeux disant à sa maman " c'est le cirque, c'est le cirque !!" Si sa mère veut bien lui laisser lire, il aura de quoi se faire une autre opinion sur les cirques avec animaux.

dimanche 24 février 2013

Eram, cuir, deuxième partie

Lire le premier article à ce sujet : cliquez ici

N'ayant eu aucune réponse de la direction d'Eram, nous vous proposons d'imprimer ces affichettes (4 sur une feuille A4) et de les coller dans des endroits légaux proches de boutiques Eram.



lundi 18 février 2013

Egypte : les femmes victimes d'agressions sexuelles | Amnesty International France

En Egypte comme dans certains autres pays, le viol et les violences faites aux femmes sont des pratiques courantes dans le silence complice et honteux des autorités !
Egypte : les femmes victimes d'agressions sexuelles | Amnesty International France

Nous nous opposons à toutes les formes de discriminations et à toutes les formes de domination. La violence est innaceptable

dimanche 17 février 2013

13e édition des manifs mensuelles à Limoges

Lire d'abord le texte d'appel (pour celles et ceux ne le connaissant pas encore.) 

Le mauvais temps du début du mois ne nous a pas permis de faire des actions dans ce cadre les deux premiers samedis du mois. Nous avons donc profité d'un soleil agréable malgré  un froid sec pour nous placer sur la place des Carmes.

Cette fois-ci, nous nous sommes installés de chaque côté de la rue avec donc un double étalage de nos tracts, banderoles et pancartes.
L'un des étalages furent d'ailleurs bousculés par quelques jeunes sans que nous en connaissions la raison !
Samedi après-midi avec peu de passage malheureusement surtout au niveau piéton. J'ai eu tout à loisir de porter une pancarte et de donner un tract au rares personnes qui passaient. Tract d'ailleurs refusé dans la majorité des cas. A priori, l'abolition de la viande fait moins peur que la libération animale si l'on en juge au succès - tout relatif- d'une action "Abolition de la viande" à Saint-Junien.

Trois personnes ont bien voulu engager la conversation. Un jeune homme persuadé que manger de la viande est nécessaire. Je lui ai dit que non, j'ai parlé d'égalitarisme, d'antispécisme. Il m'a bien écouté mais, à priori, sans grande conviction ! 

Ensuite une femme végétarienne mais consommant des huîtres et certains poissons de temps à autre. : le ton a changé quand elle a évoqué "notre amie Brigitte Bardot". Nous avons du expliquer certaines choses qui sont inacceptables.


Enfin, une autre femme, qui n'a pas arrêté de nous parler de son vieux chien et des maghrébins très bruyants dans son quartier. Nathalie a bien essayer de recadrer le sujet à plusieurs reprises mais visiblement seuls les chiens et son chien en particulier avaient de l'intérêt pour elle! 

Nous avons plié bagages vers 17 h après deux petites heures d'action. 
La 14e édition aura lieu le samedi 2 mars si la météo n'est pas trop mauvaise !










lundi 11 février 2013

Offensive contre les cirques avec animaux

Depuis le début de l'été 2012, nous menons une campagne contre les cirques avec animaux.
Campagne qui se concrétise par un courrier envoyé aux députés dont la présidente du Groupe d'Etude Protection des Animaux, sénateurs, président de la République, premier ministre, ministre de l'Ecologie et eurodéputés afin qu'une loi tant en France que dans tous les pays de la Communauté Européenne interdisent la présence et l'utilisation d'animaux dans les cirques.

Voici la lettre envoyée aux députés, un modèle sensiblement différent a été envoyé aux eurodéputés dans la mesure où l'Europe n'est pas concernée par l'article 521-1 du Code Pénal français.


Nous souhaiterions vous interpeller sur la question des cirques avec animaux et inviter l’un d’entre vous de rédiger une proposition de loi visant à l’interdiction de l’utilisation et de la détention d’animaux dans les cirques eu égard aux animaux eux-mêmes bien sûr mais aussi en direction de l’humain et plus particulièrement des enfants.L’association Code Animal en partenariat avec la SPA a réalisé un dossier sur les conditions de vie des animaux dans les cirques que je vous invite à découvrir en cliquant sur ce lien : http://www.code-animal.com/rapport_cirque2008.pdf ou ce document annexe en pièce jointe « Pour Vous y apprendrez, peut-être, que la détention perpétuelle est non seulement source de stress mais qu’elle provoque des gestes et mouvements stéréotypés que l’on peut assimiler à des comportements résultant d’une folie. Il est donc grand temps que la détention, et cela d’autant plus quand elle est source de détresse, soit reconnue par les pouvoirs publics comme acte de maltraitance et que les détenteurs d’animaux vivants dans de telles conditions soient condamnés par l’article 521-1 du Code Pénal qui interdit les actes de cruauté et les mauvais traitements sur animaux.

Dans un autre registre, on prive ces animaux qui ont perdu tout contact avec la nature, de leur culture, contact qui était l'essence de leur vie . Une introduction dans leur milieu naturel (« introduction » car nés en captivité depuis des générations) s’avère difficile voire impossible tant ils n’ont plus de repères et sont dans l’incapacité d'y vivre ou même d'y survivre. . A l’heure où l’on se préoccupe tant de la préservation des différentes cultures humaines il serait temps de mettre fin à la destruction d’un patrimoine certes non-humain mais tout aussi estimable !

Dans les cirques, les animaux ne sont donc plus que l’ombre d’eux-mêmes, tournant en rond dans leurs cages avant d’exécuter des numéros au mieux ridicules au pire contre nature et donc source de souffrance, ne serait-ce que par un dressage violent pour obtenir des animaux soumis et obéissants. Et c’est cela que nous montrons à nos enfants ! Pas de quoi les rendre fiers de leurs aînés !On peut s’interroger sur cette prétendue nécessité de voir des animaux exotiques et si l’on répond par l’affirmative, il existe de nombreux reportages animaliers les montrant dans leurs biotopes. Il n’est plus tolérable de mettre en balance une vie carcérale à perpétuité d’animaux et le « plaisir » pour les enfants de voir ces animaux !

De plus en plus d’études scientifiques démontrent que les animaux sont des êtres sensibles et sentients et que nous nous éloignons de plus en plus de l’animal-machine du philosophe Descartes. Il est donc plus que temps d’apprendre aux enfants le respect de l’animal, qui n’est pas un objet et encore moins un objet de voyeurisme. L’éducation à la violence plutôt qu’une éducation à la compassion est un frein à l’évolution des mentalités.

D’ailleurs, nous tenons également à vous informer que des instituteurs et professeurs des écoles sont parfois obligés d’emmener leurs élèves voir des cirques avec animaux sous la pression de leur direction et d’associations de parents d’élèves plus ou moins influentes.Il faut également savoir que les circassiens n’hésitent pas à faire de la propagande à l’entrée ou même à l’intérieur des établissements scolaires faisant preuve de violence en cas de refus de les laisser distribuer leurs tracts.

A l’inverse, un instituteur qui souhaiterait dénoncer les conditions de vie des animaux dans les cirques, se ferait blâmer par sa hiérarchie.Violence encore quand des citoyens témoignent de leur compassion ou de leur empathie pour ces animaux. En effet, c’est par la violence verbale mais parfois physique que les circassiens répondent aux manifestants.

La présence de ces cirques est aussi cause de troubles à l’ordre public puisque nécessitant le déplacement des forces de l’ordre. Tout cela représente un coût dont l’Etat pourrait faire l’économie.Coût encore et pollution évidente que ces longs cortèges de camions transportant des animaux de villes en villes et cela à longueur d’années. Il faudrait aussi évoquer les conditions de transports des animaux forcément inadaptées et inadaptables (les cas extrêmes sont pour les girafes ou les hippopotames pour des raisons que l’on peut deviner facilement)Il faut que les cirques avec animaux évoluent vers des spectacles sans animaux bien plus féeriques.

Vous nous répondrez peut-être qu’il y a une demande. Certes, mais pouvons-nous accéder à toutes les demandes surtout lorsqu' elles génèrent tant de détresse ? Enfin, des « spectacles » n’existent plus comme les condamnations à mort publiques ou les zoos humains comme, il en a existé jusque dans les années 1920.http://www.deshumanisation.com/phenomene/zoos-humains?showall=1Il n’y a pas eu de mouvement de protestation pour que ces spectacles perdurent alors qu’un mouvement de protestation existe réclamant la fin des cirques avec animaux. Mouvement de protestation qui a le soutien de quelques mairies qui ont déclaré leurs communes « ville anticirque avec des animaux »

En tant que députés, vous avez le pouvoir de créer une proposition de loi et d’en débattre dans l’hémicycle. Nous comptons sur vous.Nous vous proposons un modèle de ppl.« Les cirques avec animaux nés avec le colonialisme n’ont plus de raison d’exister dans la France du XXIe siècle dans la mesure où il est reconnu que la détention et le dressage ne sont pas compatibles avec le bien être légitime pour toutes les espèces animales.De fait, les professionnels des cirques avec animaux ne respectent pas l’article 521-1 du Code Pénal en exerçant, tous, des mauvais traitements envers les animaux qu'ils tiennent captifs contre leur gré.En conséquence, la présence d’animaux dans les cirques est rigoureusement interdite. Les contrevenants seront passibles d’une condamnation telle qu’elle est formulée par l’article 521-1 du Code Pénal et leurs animaux seront retirés sur le champ et placé dans des lieux leur offrant le meilleur bien-être. »

Sojasun: on ne lâche rien !

Voir les "épisodes précédents" : cliquez ici 

Second courrier de Sojasun qui, là, n'évoque plus la possibilité d'un partenariat avec des associations de scientifiques refusant d'utiliser des animaux lors de leurs expériences comme Antidote ou Pro-Anima


Tout d’abord, nous vous remercions de votre réactivité !En réponse à votre mail concernant le soutien de l’équipe cycliste Sojasun à l’association du Téléthon, nous tenons à vous rappeler que Sojasun est une marque de produits alimentaires qui propose des produits végétaux pour tous, quelles que soient leurs raisons de consommer ou leurs convictions. Notre entreprise possède depuis toujours un certain nombre de valeurs autour du respect des Hommes et de la Nature qui se traduisent par des produits cultivés et fabriqués en France, un soja garantie sans OGM, une démarche globale de Développement Durable que vous pouvez retrouver plus en détail sur notre site internet www.sojasun.com.Nous regrettons que ce parrainage ait heurté votre sensibilité. En soutenant l’association, nous souhaitons aider les personnes atteintes de maladies rares et leurs familles qui mènent un combat quotidien qu’ils n’ont pas choisi. Ce parrainage n’est en aucun cas un encouragement aux tests sur les animaux.

 Notre réponse


J'espère que vous n'imaginez pas une seule seconde que votre réponse me satisfait.  Je vous l'ai écrit avant, d'autres l'on fait aussi. En soutenant le Téléthon, vous soutenez la torture d'animaux dans les labos. Il ne peut en être autrement que vous le vouliez ou non.
Alors réfléchissez, un instant. Avec les produits que vous proposez, vous avez certainement une forte clientèle de végétarien et également des non-végé qui n'acceptent pas que l'on torture des animaux dans les labos.
Tout cela représente du monde. Vous connaissez aussi bien que moi Internet, les réseaux sociaux et un appel à ne plus acheter votre marque tant que nous n'aurons pas l'assurance que vous ne soutenez plus le Téléthon pourrait vous faire très mal. Réfléchissez-y !
De mon côté, je milite depuis 20 ans pour la cause animale, c'est vous dire si j'ai un carnet d'adresse fourni. Ils sont tous prévenus et on ne vous lâchera pas !

Il me semble que nous ne devons pas lâcher la pression et que nous soyons le plus nombreux possible à indiquer  que nous n’achèterons plus de produits Sojasun tant que nous n’aurons pas la certitude que Sojasun ne soutient plus le Téléthon.
Nous pouvons y arriver car il est à penser que leur clientèle végétarienne doit être importante. Sans compter que certaines personnes mangent des animaux tout en s’opposant à l’expérimentation animale et qu’elles peuvent donc aussi écrire pour protester. Au final, cela fait du monde.

Enfin, je vous invite à contacter les associations que vous connaissez afin qu’elles relaient auprès de leurs adhérents voir même qu’elles participent pleinement à cette action.

Je pense que c’est important de le faire à plus d’un titre :
  •   Parce que nous ne pouvons pas acheter des produits d’une marque qui finance la torture dans les labos
  •    Parce que c’est une occasion de dénoncer et l’expérimentation animale et le Téléthon.

Merci d’avoir la gentillesse de me tenir au courant de ce que vous comptez faire




dimanche 3 février 2013

Dimanche 3 février, distribution de tracts à Saint-Junien


Le temps bien meilleur que la veille (jour de la manif mensuelle pour la libération animale que nous avons reporté), quoique un peu frisquet quand même, nous a permis de jouer les facteurs dans quelques rues de Saint-Junien.

Nous avons distribué 3 sortes de tracts pendant deux heures environ. 
Les sophismes de la corrida, un document fort bien argumenté du philosophe Jean-Baptiste Jangène Wilmer, auteur de Ethique Animale mais hélas welfariste et les deux affichettes-tracts ci-dessous qui nous l'espérons ferons réfléchir quelques esprits !





vendredi 1 février 2013

Sojasun, Téléthon, suite..

Lire d'abord, le communiqué d'hier (31 janvier) 


  • La réponse de Sojasun : "Nous avons bien lu et compris vos réactions à notre soutien envers le Téléthon. Sachez que notre soutien se limite au soutien des personnes atteintes de maladies rares et leur famille. Il est évident que nous sommes sensibles à la cause des tests sur les animaux, que nous ne cautionnons pas, je le répète. Notre engagement auprès du Téléthon a été un choix humain et sociétal. Je vous prie d’être assurés que nous sommes actuellement en train d’étudier les associations et documentations que vous nous avez fait parvenir à travers vos commentaires dans l’optique de développer nos démarches de soutien aux causes importantes de notre époque."

  • Notre réponse : "Bonjour, je vous remercie d'avoir répondu. En soutenant le Téléthon, vous ne pouvez pas faire l'impasse sur l'expérimentation animale et de ne conserver que le choix humain et sociétal. Les courriers que vous avez reçu ont dû vous faire réfléchir sur vos erreurs éthique et de communication. Vous écrivez que vous allez étudier les associations et documentations que vous avez reçu afin de développer des démarches de soutien. Je me réjouis et je vous félicite d'une telle démarche...Mais en attendant, j'aimerais avoir des garanties et des preuves sérieuses que vous ne soutiendrez plus le Téléthon (notamment un courrier). Dès la réception de cette garantie, je supprimerai les évènements créés sur quelques réseaux sociaux ! "